Une balade dépaysante en bonne compagnie.
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La brasserie des Bobelines : un voyage dans le temps
Nichée au cœur de la ville thermale de Spa, la Brasserie des Bobelines vous invite à un voyage dans le temps. Installée dans un bâtiment historique du 19e siècle, elle rend hommage aux « Bobelins » et « Bobelines », ces curistes élégants qui fréquentaient Spa à la Belle Epoque.
La Brasserie des Bobelines, c’est avant tout un lieu convivial où l’on se retrouve pour savourer des bières artisanales brassées sur place. Non filtrées et non pasteurisées, elles offrent une palette de saveurs uniques, de la Triple à la Black, en passant par l’Ambrée et la Blanche Fraise.
Outre ses bières de caractère, l’établissement propose une cuisine bistronomique élaborée à partir de produits frais et de saison. Le décor, quant à lui, vous plonge dans l’ambiance raffinée de l’aube du 20e siècle, avec une touche de modernité.
Note :
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The Deer’s Cry
Arvo Pärt, figure majeure de la musique minimaliste, est connu pour ses œuvres empreintes de spiritualité et de mysticisme. Parmi celles-ci, The Deer’s Cry (2007) se distingue par sa beauté poignante et son atmosphère contemplative. Cette pièce pour chœur a cappella, nous plonge au cœur d’une prière millénaire.
Le texte de The Deer’s Cry, également connu sous le nom de “Lorica” ou “Breastplate”, est attribué à Saint-Patrick, évangélisateur de l’Irlande au Ve siècle. Selon la légende, Patrick et ses moines, poursuivis par leurs ennemis, se seraient transformés en cerfs après avoir récité cette prière. Initialement écrite en vieil irlandais, elle exprime une confiance inébranlable en Dieu et invoque la protection du Christ à chaque moment de la journée, dans toutes les situations, face aux dangers visibles et invisibles.
Arvo Pärt met en musique ce texte avec une sensibilité et une profondeur exceptionnelles. Son style minimaliste, caractérisé par des harmonies simples et une mélodie dépouillée, crée un écrin sonore idéal pour la prière.
L’atmosphère de The Deer’s Cry est celle du recueillement et de la méditation. La musique, à la fois poignante et apaisante, invite l’auditeur à un voyage intérieur, à la rencontre de sa propre spiritualité.
Christ with me, Christ before me, Christ behind me,
Christ in me, Christ beneath me, Christ above me,
Christ on my right, Christ on my left,
Christ when I lie down, Christ when I sit down,
Christ in me, Christ when I arise,
Christ in the heart of every man who thinks of me,
Christ in the mouth of every man who speaks of me,
Christ in the eye that sees me,
Christ in the ear that hears me,
Christ with me.
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Beauty
Une centaine de tableaux mis en mouvement et rendus vivants par des artifices numériques, c’est le principe de cette vidéo qui rend hommage à l’art et à la beauté.
Le réalisateur Rino Tagliafierro, qui vit et travaille à Milan, sous-titre sa vidéo : un chemin de soupirs à travers les émotions de la vie, et un hommage à l’art et à sa beauté désarmante.
La vidéo est une compilation d’une série de tableaux qui traversent tous les âges de l’histoire de l’art, de la Renaissance au Romantisme, en passant par le néo-classicisme, chaque toile prend vie grâce à la technologie numérique, et 3D.
Le résultat est fascinant, hypnotique, et nous invite à jeter un autre regard sur les paysages, les personnages mythologiques ou bucoliques. Une performance pour l’amour de l’art et de la beauté.
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Cathédrale Saint-Domnius de Split
Au cœur du palais de Dioclétien, la cathédrale Saint-Domnius est un témoin privilégié de l’histoire de Split. D’abord mausolée de l’empereur romain, elle est convertie en église et dédiée à Domnion de Salone au VIIe siècle
Son architecture unique mêle styles romain et roman. L’intérieur, sobre, conserve des vestiges impériaux : portes de bronze, colonnes de granit. Mosaïques médiévales et sculptures baroques témoignent de son évolution.
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Un célèbre rabbi hassidique
Un célèbre rabbi hassidique du nom de Zousia a dit : ‘Quand je me présenterai au tribunal céleste, il ne me sera pas demandé pourquoi je n’ai pas été Abraham, Jacob ou Moïse. Il me sera demandé pourquoi je n’ai pas été Zousia’.
— Élie Wiesel, Célébration hassidique
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Aller à l’essentiel
Plus ma vie se déroule et plus je vais à l’essentiel. Il fut un temps où à force de me demander si ma conscience était « en règle », j’en oubliais d’aimer et de vivre. La roue a tourné, au prix parfois d’une docilité intérieure douloureuse. Mais je le sais maintenant : la loi seule ne m’a jamais délivré de moi-même, la joie de vivre vient d’ailleurs et elle est contagieuse.
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La grâce chuchotée
Tout le jour nous avions médité sur les problèmes de la famille post-moderne. Le soir nous inclina à des réflexions plus ardues : Qu’est-ce qu’aimer ? Comment aimer ? Je me méfie depuis longtemps de ces prédications, irréelles à force de convoiter l’absolu : « Aimez autrui autant et plus que vous ! Servez-le ! Sacrifiez-vous pour lui ! ». Si l’adolescent est totalement soumis aux parents, si les parents subissent patiemment l’insulte des enfants, si la mère se meurtrit en d’aveugles dévouements, il n’y a pas d’amour dans ces familles, dont on puisse se féliciter. Il y a l’abus et il fait des victimes. Cette gratuité de nos offrandes, ce désintéressement suprême réclamé à nos actes est peut-être la plus haute inspiration du christianisme, mais ils ont prêté à de lourdes équivoques. Le pauvre, le subalterne, l’opprimé et tout faible ont été priés d’accepter les misères imposées par le fort comme des instruments d’amour et de salut.
(suite…)
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Les bottes en cahoutchouc
Les bottes en cahoutchouc, instrumental d’Ehma, extrait de l’album La plage de Blane-Est (2004). Trois minutes de nostalgie partagée entre Satie et Tiersen, entre sel de mer et glace à la pistache. [Source]
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Diagnostic
« Diagnostic« , court métrage réalisé par Fabrice Bracq sur un scénario d’Antoine Cupial, avec Michel Cymes, Arnaud Cosson et Nicole Ferroni.