Plus ma vie se déroule et plus je vais à l’essentiel. Il fut un temps où à force de me demander si ma conscience était « en règle », j’en oubliais d’aimer et de vivre. La roue a tourné, au prix parfois d’une docilité intérieure douloureuse. Mais je le sais maintenant : la loi seule ne m’a jamais délivré de moi-même, la joie de vivre vient d’ailleurs et elle est contagieuse.
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